Le nouveau calendrier vaccinal de 2017 (1) comporte quelques innovations basées sur les avis du HCSP.
Contre le méningocoque du groupe C, une dose de vaccin supplémentaire à l’âge de 5 mois est recommandée, en raison d’une couverture vaccinale insuffisante pour permettre l’installation d’une immunité de groupe. En effet, l’incidence de la maladie a augmenté de manière « difficilement acceptable » dans cette tranche d’âge.
Grâce à une couverture vaccinale satisfaisante chez les nourrissons, l’incidence des infections à pneumocoque a diminué dans toutes les tranches d’âge, y compris chez l’adulte. Néanmoins, la vaccination anti-pneumococcique chez les personnes à risque reste recommandée, et cela, selon un schéma unique (sur la base de nouvelles données sur l’efficacité du vaccin conjugué chez les personnes âgées, d’une étude médico-économique et dans un but de simplification).
Les personnes qui n’ont reçu antérieurement que le vaccin VPP23 pourront recevoir une injection du VPC13 (au moins un an après le VPP23).
Une autre injection de VPP23 pourra être réalisée en respectant un délai de cinq ans après la première injection de VPP23.
L’augmentation de la couverture vaccinale contre le papillomavirus (HPV) est la priorité pour les filles, chez lesquelles la vaccination est recommandée entre 11 et 14 ans et, en rattrapage, entre 15 et 19 ans.
La vaccination généralisée chez les garçons n’a pas été retenue par le HCSP, mais il est recommandé de proposer cette vaccination dans les centres publics de vaccination, à titre gracieux jusqu’à l’âge de 26 ans, aux hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes.
Aujourd’hui, la morbi-mortalité liée au papillomavirus est importante, la couverture vaccinale reste faible (moins de 20 % de la population cible) et le dépistage est insuffisant dans certaines populations.
C’est dans ce contexte que vient d’être commercialisé un troisième vaccin nonavalent (vis-à-vis des génotypes HPV communs 6, 11, 16 et 18, plus vis-à-vis des génotypes HPV à haut risque additionnels 31, 33, 45, 52 et 58)***. La Haute Autorité de santé s’est prononcée pour le remboursement de ce nouveau vaccin nonavalent, qui assure une protection contre 90 % des cancers de l’utérus liés au HPV, en lui attribuant un SMR important et lui reconnaissant ainsi son efficacité et sa bonne tolérance.
De nombreux territoires à explorer. Il reste de nombreuses maladies infectieuses qui continuent de se propager comme le sida, l’hépatite C, le chikungunya, le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), Ébola... et qui n’attendent que des vaccins pour être enrayées.
Par ailleurs, différents cancers peuvent être liés à des agents infectieux comme le cancer de l’utérus (HPV), du foie (virus de l’hépatite C), de l’estomac (Helicobacter pylori), ou encore certains lymphomes (virus d’Epstein-Barr).
Enfin, le XXIe siècle s’annonce comme celui des vaccins thérapeutiques, qui seront une vraie révolution : des résultats plus qu’encourageants sont déjà obtenus dans le domaine du cancer et des travaux sont en cours dans la maladie d’Alzheimer, le sida et certaines maladies auto-immunes.
De nouveaux concepts. Plusieurs pistes sont explorées pour améliorer l’efficacité des vaccins ou en créer d’autres, notamment contre des agents infectieux que l’on ne sait pas inactiver.
– La neutralisation par génie génétique : rendre inoffensive une souche infectieuse en inactivant les gènes qui la rendent pathogène.
– Les vaccins recombinants et les agents pathogènes « présentoirs » : faire exprimer des antigènes de différents agents pathogènes par un seul germe, le plus souvent un virus anodin utilisé comme vecteur.
– La vaccination génétique : insérer un fragment d’ADN ou d’ARN codant pour un antigène vaccinal directement dans les cellules de la personne à vacciner.
– Les vaccins chimériques : insérer des gènes du virus contre lequel on veut induire une réponse immunitaire dans le génome d’une souche vaccinale efficace, déjà utilisée en routine.
Pour améliorer le confort et la sécurité des vaccins, ce qui est une préoccupation permanente, les laboratoires travaillent sur des alternatives à l’injection telles que les patchs cutanés et l’administration par voie muqueuse (orale, nasale, sublinguale, vaginale ou rectale).
Le vaccin contre le paludisme testé en conditions réelles. En 2015, il y avait 18 candidats-vaccins contre le paludisme et le plus avancé d’entre eux, le RTS/S, va être testé en conditions réelles a récemment annoncé l’OMS, qui lance une grande campagne de vaccination en Afrique : 360 000 enfants devraient être vaccinés entre 2018 et 2020.
Ce vaccin est composé de protéines de synthèse reproduisant une partie des sporozoïtes. Il nécessite 4 injections (à 5, 6, 7 mois et à 2 ans) pour atteindre son efficacité maximale. Il ne cible que le Plasmidium falciparum, à l’origine de la forme la plus sévère et la plus répandue de la maladie.
Vaccin contre le sida : de nombreux obstacles à surmonter. À l’heure actuelle, plus des 400 essais cliniques ont été réalisés avec des candidats-vaccins, mais les difficultés à surmonter sont nombreuses : extrême diversité génétique du VIH, qui mute en permanence, lui permettant d’échapper aux attaques du système immunitaire, circulation de souches très différentes, dissémination très rapide du VIH dans l’organisme...
Les résultats préliminaires d’un nouveau vaccin ont été présentés au dernier congrès de l’International AIDS Society en juillet dernier. Évalué chez 393 volontaires humains, différentes combinaisons de ce vaccin ont été testées et la plus efficace a entraîné une réponse cellulaire chez la majorité d’entre eux.
Premier essai chez l’homme d’un vaccin contre la maladie d’Alzheimer. Les résultats d’un essai de phase I chez l’homme avec un vaccin (AADvac1) contre la maladie d’Alzheimer ont été publiés au début de l’année (3) : il s’agit d’une étude contrôlée, randomisée, en double aveugle versus placebo chez 30 patients atteints de la maladie, qui a mis en évidence, concluent les auteurs, « un profil de sécurité favorable et une excellente immunogénicité ». Encore faut-il que ce vaccin confirme son innocuité et prouve son efficacité clinique.
Des vaccins thérapeutiques contre le cancer : premiers pas. À la dernière édition du congrès l’ASCO en juin dernier, les résultats d’une étude de phase I avec le vaccin thérapeutique INVAC-1 ont été présentés. L’étude a inclus 20 patients atteints de cancers à des stades très avancés et métastatiques (tumeurs solides réfractaires ou en rechutes de traitements standard) dans 2 centres de référence de l’AP-HP. INVAC-1 cible spécifiquement la télomérase, enzyme surexprimée dans la plupart des cellules cancéreuses et qui joue un rôle essentiel dans leur prolifération incontrôlée. Les résultats préliminaires montrent que cette molécule est très bien tolérée et fortement immunogène. Après la 1re injection, 60 % des patients traités étaient encore en vie entre 12 et 28 mois plus tard. La FDA vient de donner son accord en octobre pour le lancement d’une phase II d’INVAC-1.
Les résultats de trois études de phase II avec le vaccin thérapeutique Trovax dans le traitement du cancer du rein métastatique ont également été présentés (61 patients inclus aux États-Unis et au Royaume-Uni). Les auteurs montrent que Trovax présente un bon profil de tolérance et qu’il induit une réponse immunitaire marquée et soutenue contre l’antigène tumoral 5T4, avec un bénéfice clinique encourageant par rapport aux séries historiques.
** Vaccin polyosidique non conjugué de couverture sérotypique large.
*** Il existe déjà deux vaccins anti-HPV, l’un bivalent, vis-à-vis des génotypes HPV communs 16 et 18, et l’autre tétravalent, vis-à-vis des génotypes HPV communs 6, 11, 16 et 18.
(1) Vidal. Calendrier vaccinal : les innovations pour 2017 [en ligne]. [Consulté le 26/10/2017]. Disponible à l’adresse : www.vidal.fr/actualites/21280/calendrier-vaccinal-les-innovations-pour-…
(2) Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Vaccins et vaccination [en ligne]. [Consulté le 26/10/2017]. Disponible à l’adresse : www.inserm.fr/thematiques/immunologie-inflammation-infectiologie-et-mic…
(3) Novak P, Schmidt R, Kontsekova E et al. Safety and immunogenicity of the tau vaccine AADvac1 in patients with Alzheimer’s disease: a randomised, double-blind, placebo-controlled, phase 1 trial. Lancet Neurol. 2017;16(2):123-34.
(4) Vidal. Un nouveau vaccin préviendrait le zona et ses complications dans 90 % des cas [en ligne]. [Consulté le 26/10/2017]. Disponible à l’adresse : www.vidal.fr/actualites/20220/un_nouveau_vaccin_previendrait_le_zona_et…
Contre le méningocoque du groupe C, une dose de vaccin supplémentaire à l’âge de 5 mois est recommandée, en raison d’une couverture vaccinale insuffisante pour permettre l’installation d’une immunité de groupe. En effet, l’incidence de la maladie a augmenté de manière « difficilement acceptable » dans cette tranche d’âge.
Grâce à une couverture vaccinale satisfaisante chez les nourrissons, l’incidence des infections à pneumocoque a diminué dans toutes les tranches d’âge, y compris chez l’adulte. Néanmoins, la vaccination anti-pneumococcique chez les personnes à risque reste recommandée, et cela, selon un schéma unique (sur la base de nouvelles données sur l’efficacité du vaccin conjugué chez les personnes âgées, d’une étude médico-économique et dans un but de simplification).
Schéma vaccinal unique pour les populations à risque d’infection par le pneumocoque
Primo-vaccination par une dose de VPC13* suivie d’une dose de VPP23** avec un délai minimal de huit semaines.Les personnes qui n’ont reçu antérieurement que le vaccin VPP23 pourront recevoir une injection du VPC13 (au moins un an après le VPP23).
Une autre injection de VPP23 pourra être réalisée en respectant un délai de cinq ans après la première injection de VPP23.
L’augmentation de la couverture vaccinale contre le papillomavirus (HPV) est la priorité pour les filles, chez lesquelles la vaccination est recommandée entre 11 et 14 ans et, en rattrapage, entre 15 et 19 ans.
La vaccination généralisée chez les garçons n’a pas été retenue par le HCSP, mais il est recommandé de proposer cette vaccination dans les centres publics de vaccination, à titre gracieux jusqu’à l’âge de 26 ans, aux hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes.
Aujourd’hui, la morbi-mortalité liée au papillomavirus est importante, la couverture vaccinale reste faible (moins de 20 % de la population cible) et le dépistage est insuffisant dans certaines populations.
C’est dans ce contexte que vient d’être commercialisé un troisième vaccin nonavalent (vis-à-vis des génotypes HPV communs 6, 11, 16 et 18, plus vis-à-vis des génotypes HPV à haut risque additionnels 31, 33, 45, 52 et 58)***. La Haute Autorité de santé s’est prononcée pour le remboursement de ce nouveau vaccin nonavalent, qui assure une protection contre 90 % des cancers de l’utérus liés au HPV, en lui attribuant un SMR important et lui reconnaissant ainsi son efficacité et sa bonne tolérance.
Pourquoi la recherche vaccinale a-t-elle encore de beaux jours devant elle (2) ?
Si les progrès dans le domaine de la vaccinologie ont été immenses au XXe siècle, l’avenir de cette discipline ouvre des voies de recherche tout aussi importantes pour plusieurs raisons.De nombreux territoires à explorer. Il reste de nombreuses maladies infectieuses qui continuent de se propager comme le sida, l’hépatite C, le chikungunya, le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), Ébola... et qui n’attendent que des vaccins pour être enrayées.
Par ailleurs, différents cancers peuvent être liés à des agents infectieux comme le cancer de l’utérus (HPV), du foie (virus de l’hépatite C), de l’estomac (Helicobacter pylori), ou encore certains lymphomes (virus d’Epstein-Barr).
Enfin, le XXIe siècle s’annonce comme celui des vaccins thérapeutiques, qui seront une vraie révolution : des résultats plus qu’encourageants sont déjà obtenus dans le domaine du cancer et des travaux sont en cours dans la maladie d’Alzheimer, le sida et certaines maladies auto-immunes.
De nouveaux concepts. Plusieurs pistes sont explorées pour améliorer l’efficacité des vaccins ou en créer d’autres, notamment contre des agents infectieux que l’on ne sait pas inactiver.
– La neutralisation par génie génétique : rendre inoffensive une souche infectieuse en inactivant les gènes qui la rendent pathogène.
– Les vaccins recombinants et les agents pathogènes « présentoirs » : faire exprimer des antigènes de différents agents pathogènes par un seul germe, le plus souvent un virus anodin utilisé comme vecteur.
– La vaccination génétique : insérer un fragment d’ADN ou d’ARN codant pour un antigène vaccinal directement dans les cellules de la personne à vacciner.
– Les vaccins chimériques : insérer des gènes du virus contre lequel on veut induire une réponse immunitaire dans le génome d’une souche vaccinale efficace, déjà utilisée en routine.
Pour améliorer le confort et la sécurité des vaccins, ce qui est une préoccupation permanente, les laboratoires travaillent sur des alternatives à l’injection telles que les patchs cutanés et l’administration par voie muqueuse (orale, nasale, sublinguale, vaginale ou rectale).
Aux dernières nouvelles...
Plusieurs vaccins sont en cours de développement à des phases plus ou moins avancées. Le point sur ces travaux... qui suscitent beaucoup d’espoirs.Le vaccin contre le paludisme testé en conditions réelles. En 2015, il y avait 18 candidats-vaccins contre le paludisme et le plus avancé d’entre eux, le RTS/S, va être testé en conditions réelles a récemment annoncé l’OMS, qui lance une grande campagne de vaccination en Afrique : 360 000 enfants devraient être vaccinés entre 2018 et 2020.
Ce vaccin est composé de protéines de synthèse reproduisant une partie des sporozoïtes. Il nécessite 4 injections (à 5, 6, 7 mois et à 2 ans) pour atteindre son efficacité maximale. Il ne cible que le Plasmidium falciparum, à l’origine de la forme la plus sévère et la plus répandue de la maladie.
Vaccin contre le sida : de nombreux obstacles à surmonter. À l’heure actuelle, plus des 400 essais cliniques ont été réalisés avec des candidats-vaccins, mais les difficultés à surmonter sont nombreuses : extrême diversité génétique du VIH, qui mute en permanence, lui permettant d’échapper aux attaques du système immunitaire, circulation de souches très différentes, dissémination très rapide du VIH dans l’organisme...
Les résultats préliminaires d’un nouveau vaccin ont été présentés au dernier congrès de l’International AIDS Society en juillet dernier. Évalué chez 393 volontaires humains, différentes combinaisons de ce vaccin ont été testées et la plus efficace a entraîné une réponse cellulaire chez la majorité d’entre eux.
Premier essai chez l’homme d’un vaccin contre la maladie d’Alzheimer. Les résultats d’un essai de phase I chez l’homme avec un vaccin (AADvac1) contre la maladie d’Alzheimer ont été publiés au début de l’année (3) : il s’agit d’une étude contrôlée, randomisée, en double aveugle versus placebo chez 30 patients atteints de la maladie, qui a mis en évidence, concluent les auteurs, « un profil de sécurité favorable et une excellente immunogénicité ». Encore faut-il que ce vaccin confirme son innocuité et prouve son efficacité clinique.
Des vaccins thérapeutiques contre le cancer : premiers pas. À la dernière édition du congrès l’ASCO en juin dernier, les résultats d’une étude de phase I avec le vaccin thérapeutique INVAC-1 ont été présentés. L’étude a inclus 20 patients atteints de cancers à des stades très avancés et métastatiques (tumeurs solides réfractaires ou en rechutes de traitements standard) dans 2 centres de référence de l’AP-HP. INVAC-1 cible spécifiquement la télomérase, enzyme surexprimée dans la plupart des cellules cancéreuses et qui joue un rôle essentiel dans leur prolifération incontrôlée. Les résultats préliminaires montrent que cette molécule est très bien tolérée et fortement immunogène. Après la 1re injection, 60 % des patients traités étaient encore en vie entre 12 et 28 mois plus tard. La FDA vient de donner son accord en octobre pour le lancement d’une phase II d’INVAC-1.
Les résultats de trois études de phase II avec le vaccin thérapeutique Trovax dans le traitement du cancer du rein métastatique ont également été présentés (61 patients inclus aux États-Unis et au Royaume-Uni). Les auteurs montrent que Trovax présente un bon profil de tolérance et qu’il induit une réponse immunitaire marquée et soutenue contre l’antigène tumoral 5T4, avec un bénéfice clinique encourageant par rapport aux séries historiques.
Dr Catherine Bouix
* Vaccin polyosidique conjugué, d’efficacité intrinsèque élevée.** Vaccin polyosidique non conjugué de couverture sérotypique large.
*** Il existe déjà deux vaccins anti-HPV, l’un bivalent, vis-à-vis des génotypes HPV communs 16 et 18, et l’autre tétravalent, vis-à-vis des génotypes HPV communs 6, 11, 16 et 18.
(1) Vidal. Calendrier vaccinal : les innovations pour 2017 [en ligne]. [Consulté le 26/10/2017]. Disponible à l’adresse : www.vidal.fr/actualites/21280/calendrier-vaccinal-les-innovations-pour-…
(2) Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Vaccins et vaccination [en ligne]. [Consulté le 26/10/2017]. Disponible à l’adresse : www.inserm.fr/thematiques/immunologie-inflammation-infectiologie-et-mic…
(3) Novak P, Schmidt R, Kontsekova E et al. Safety and immunogenicity of the tau vaccine AADvac1 in patients with Alzheimer’s disease: a randomised, double-blind, placebo-controlled, phase 1 trial. Lancet Neurol. 2017;16(2):123-34.
(4) Vidal. Un nouveau vaccin préviendrait le zona et ses complications dans 90 % des cas [en ligne]. [Consulté le 26/10/2017]. Disponible à l’adresse : www.vidal.fr/actualites/20220/un_nouveau_vaccin_previendrait_le_zona_et…
L’amélioration de vaccins existants
Il est possible d’améliorer l’efficacité, la tolérance et le confort de certains vaccins déjà existants. Ainsi, le nouveau vaccin HZ/su inactivé (contenant la glycoprotéine E recombinante du virus varicelle-zona et de l’adjuvant AS01) montre une efficacité vaccinale de 90 % contre l’apparition du zona et contre les douleurs post-zostériennes, qui ne s’infléchit pas avec l’âge (4). Il vient d’obtenir l’approbation de la FDA.
Il est possible d’améliorer l’efficacité, la tolérance et le confort de certains vaccins déjà existants. Ainsi, le nouveau vaccin HZ/su inactivé (contenant la glycoprotéine E recombinante du virus varicelle-zona et de l’adjuvant AS01) montre une efficacité vaccinale de 90 % contre l’apparition du zona et contre les douleurs post-zostériennes, qui ne s’infléchit pas avec l’âge (4). Il vient d’obtenir l’approbation de la FDA.
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