Un bilan de 34 798 kilomètres dans les spatules, 300 016 euros dans la cagnotte : l’événement caritatif organisé par la station du Grand-Bornand a plus que jamais mérité son nom de Glisse en Cœur. « On n’a pas toujours le choix des combats que l’on mène », se sont émus les chanteurs Mouss et Hakim du groupe Zebda, après avoir rencontré le bénéficiaire de cette 9e édition. Soit l’association Après la pluie, qui mise sur l’écriture et la pratique théâtrale pour soulager l’hospitalisation d’enfants cancéreux. Après deux jours de solidarité créative dans le service d’oncologie marseillais de La Timone, c’est sur scène qu’ils ont exprimé leur solidarité : « Créer de l’énergie saine et positive par la musique et la parole, c’est notre place !»
Le présentateur des journaux de la matinale sur France 2 a répondu présent, sur les pistes. « Père de trois enfants, j’ai été évidemment touché par cette cause », commente Nathanaël de Rincquesen. « Mais, il ne faut pas attendre d’être concerné directement : si tout le monde s’engageait une fois par an pour des associations, ça leur changerait la vie. »
Pareillement subjugué en 1996, pour avoir accepté d’être la figure charismatique de cette levée de fonds télévisuelle, Thierry Lhermitte s’est découvert une passion, dont il gratifie aujourd’hui la Fondation pour la recherche médicale (FRM). « Très fondamentaux, toujours passionnants, les travaux qu’elle finance sont moins spectaculaires », pointe l’acteur, qui s’est mué en chroniqueur scientifique au fil de ses dix ans d’engagement. La gageure ? « Faire comprendre que le don privé est essentiel puisqu’il contribue à un tiers du financement des laboratoires, avec une rapidité de mise à disposition : c’est donc un levier indispensable à la créativité et au foisonnement scientifique. »
À ses côtés, une autre marraine de la Fondation, qui démultiplie le même message, depuis « Allô Docteurs » jusqu’à des réunions de bienfaiteurs. « Contrairement à la médecine, les Français pensent que la recherche est meilleure aux États-Unis, souligne Marina Carrère d’Encausse. Non seulement notre pays réalise des choses exceptionnelles, mais il serait dommage de laisser s’enfuir les cerveaux… » En antidote, le don, encore et toujours.
Anne-Laure Murier
Le présentateur des journaux de la matinale sur France 2 a répondu présent, sur les pistes. « Père de trois enfants, j’ai été évidemment touché par cette cause », commente Nathanaël de Rincquesen. « Mais, il ne faut pas attendre d’être concerné directement : si tout le monde s’engageait une fois par an pour des associations, ça leur changerait la vie. »
Parrain une fois, parrain toujours
C’est dans la même note que Garou a choisi de renouveler son engagement auprès de l’AFM et de parrainer son institut I-Motion, inauguré le 18 février. « Quand on est parrain du Téléthon une fois, on l’est pour toujours », a expliqué le chanteur canadien. En 2014, c’est après avoir visité les laboratoires d’Évry qu’il partageait sa prise de conscience : « Coût de manipulation, de fabrication, de production : cela demande beaucoup de sous, ne serait-ce que pour les espaces de recherche ! ». Sa notoriété promeut maintenant un tout nouveau centre dédié aux essais pédiatriques. Et d’expliquer qu’en « inscrivant (sa) présence dans ces lieux », il se revendique « dans cette grande famille à jamais ».Pareillement subjugué en 1996, pour avoir accepté d’être la figure charismatique de cette levée de fonds télévisuelle, Thierry Lhermitte s’est découvert une passion, dont il gratifie aujourd’hui la Fondation pour la recherche médicale (FRM). « Très fondamentaux, toujours passionnants, les travaux qu’elle finance sont moins spectaculaires », pointe l’acteur, qui s’est mué en chroniqueur scientifique au fil de ses dix ans d’engagement. La gageure ? « Faire comprendre que le don privé est essentiel puisqu’il contribue à un tiers du financement des laboratoires, avec une rapidité de mise à disposition : c’est donc un levier indispensable à la créativité et au foisonnement scientifique. »
À ses côtés, une autre marraine de la Fondation, qui démultiplie le même message, depuis « Allô Docteurs » jusqu’à des réunions de bienfaiteurs. « Contrairement à la médecine, les Français pensent que la recherche est meilleure aux États-Unis, souligne Marina Carrère d’Encausse. Non seulement notre pays réalise des choses exceptionnelles, mais il serait dommage de laisser s’enfuir les cerveaux… » En antidote, le don, encore et toujours.
Anne-Laure Murier
Article précédent
Quelles vaccinations ?
Article suivant
L’odyssée des AOD
L’atout télémédecine
Patients fragiles et pré-fragiles : mission prévention
Les nouvelles recommandations de la SPLF
Les objets connectés vont-ils vraiment « révolutionner » la santé ?
Femmes à couper le souffle
Protection masculine ou manque de sensibilisation ?
Le serment de Galien et ses ancêtres
Un SESAM pour apprendre la médecine
Une nouvelle ère thérapeutique
Galien : J – 10
Le cerveau du cerveau
Les Européens à cœur ouvert
Regards sur l’œil du diabétique
Le cœur high-tech
Quand la réalité dépasse la fiction
PDA cherche cadre réglementaire
Des barrières de sécurité
La peau en danger
La BPCO tue 5 fois plus que la route
Une révolution dans le monde de la pharmacie
Deux types dans le viseur !
Les patients diabétiques bientôt tous connectés ?
À la recherche d’antalgiques puissants et bien tolérés
Le rouge de la honte
Galien : la comparaison « Nobel »
HTA : peut mieux faire
De la magic bullet au nanomédicament
Imaginer la cardiologie de demain…
Un leitmotiv : arriver à la « Aids-Free Generation »
Les clés d’une prise en charge optimale
Cap or
Ces cinq années qui ont permis de dompter l'hépatite C
Une révolution annoncée : voir au lieu d’écouter
La révolution du microbiote intestinal
Dix ans après : de plus en plus de champs thérapeutiques concernés
FODMAPs : une hypothèse qui fermente
Création du DU « e-santé et médecine connectée »
Le bébé en danger
Des avancées continues
Une arme de pointe en milieu carcéral
L’algorithme, futur bras droit du médecin ?
L’OFSEP : plus de 45 000 patients français à la loupe
Alcool cherche généraliste
Les médecines non conventionnelles à l’étude
Claude Galien, père de la pharmacie
De la fibrillation atriale à l’accident vasculaire cérébral
L'ado a rendez-vous avec la sexualité
L’école avec un grand H
Une avalanche de biomédicaments en rhumatologie
Roland Mehl, père du prix Galien
Menace intérieure sur la peau
Une décennie de révolution
Des données big data à l’immunothérapie dans l’asthme sévère
La montée en puissance des algorithmes
Lever les derniers freins
La peau… à rude épreuve !
Des pansements toujours plus intelligents
Les recommandations mises à jour
Les cinq cancers et l’hépatite C concernés
L’axe cerveau-peau
Quelles vaccinations ?
Zebda, Lhermitte, Garou et les autres
L’odyssée des AOD
Officines : 4 millions de personnes par jour
Les CeGIDD, une approche globale de la santé sexuelle
Big data : code en stocks
Zika : quand la peur permet d’éviter le danger
Lifting dans la gastro-entérite de l’enfant
Les biosimilaires arrivent en force
Maladie d’Alzheimer et syndromes apparentés
La ville sous le signe du cancer
Les nouveaux traitements en ligne de mire
Galien : les derniers crus
Traits de plume
Lombalgie : l’enjeu de la chronicisation
Les quatre de saison
Un passage exaucé par les aumôniers hospitaliers
Grippe : restaurer la confiance
L’homme trahi par sa prostate
La mauvaise e-réputation : prudence et vigilance
L’ASIP propose un guide aux éditeurs de logiciels
Nouveautés d’aujourd’hui, visions d’avenir
Une sécurité obligée
Couvrez cette peau…
Un rôle majeur dans l’organisation des soins
Passer de la cure au care – du soin à l’accompagnement
Alzheimer : des ateliers pour stimuler les patients
Il était une fois le Galien… Le tour du monde en 45 ans
Une évolution technologique fulgurante
Panser… demain !
Le LDL-cholestérol, une cible à privilégier
L’alcool, le fléau de l’hospitalisation
Une recherche clinique tous azimuts
Insolite
Épiler ou pas ?
La Pharmacie du Marché
Un comportement suspect
La Pharmacie du Marché
Le temps de la solidarité
Insolite
Rouge à lèvres d'occasion