Une Directive européenne (actualisée depuis 2005) précise la liste des aliments, et des produits à base de ses aliments, qui doivent être notés sur les étiquettes, même s'ils sont présents que sous la forme de trace (voir tableau). L'allergénicité a été confirmée pour neuf substances et ingrédients :
- Lysozyme (produit à partir d'œufs) utilisé dans le vin ;
- Albumine (produite à partir d'œufs) utilisée comme agent de clarification dans le vin et le cidre ;
- Gélatine de poisson utilisée comme support d’arôme ;
- Produits à base de lait utilisés comme agents de clarification dans le vin et le cidre ;
- Huile essentielle de feuilles et graines de céleri ;
- Oléorésine de graines de céleri ;
- Huile essentielle de moutarde ;
- Huile essentielle de graines de moutarde ;
- Oléorésine de graines de moutardes.
L'ingrédient doit figurer sur l'étiquetage dans la liste des composants de la denrée par une référence claire au nom de l'allergène. Ainsi, l’étiquette d’une formulation mettant en œuvre la lécithine issue de soja comme émulsifiant la signalera en tant que telle : « émulsifiant : lécithine de soja », et non « émulsifiant : lécithine » ou « émulsifiant : E322 ». Les règles d'étiquetage ne concernent que les ingrédients introduits volontairement dans la recette : la présence fortuite d'allergènes (contamination involontaire par contact avec d'autres produits sur la chaîne de fabrication, lors du stockage ou du transport) n'est pas impossible. Cependant, la législation ne concerne pas l'étiquetage de précaution et l'usage de mentions telles que « traces éventuelles », « est fabriqué dans un atelier qui utilise », « peut contenir des traces de » : leur apposition résulte d’une démarche volontaire des industriels.
- Lysozyme (produit à partir d'œufs) utilisé dans le vin ;
- Albumine (produite à partir d'œufs) utilisée comme agent de clarification dans le vin et le cidre ;
- Gélatine de poisson utilisée comme support d’arôme ;
- Produits à base de lait utilisés comme agents de clarification dans le vin et le cidre ;
- Huile essentielle de feuilles et graines de céleri ;
- Oléorésine de graines de céleri ;
- Huile essentielle de moutarde ;
- Huile essentielle de graines de moutarde ;
- Oléorésine de graines de moutardes.
L'ingrédient doit figurer sur l'étiquetage dans la liste des composants de la denrée par une référence claire au nom de l'allergène. Ainsi, l’étiquette d’une formulation mettant en œuvre la lécithine issue de soja comme émulsifiant la signalera en tant que telle : « émulsifiant : lécithine de soja », et non « émulsifiant : lécithine » ou « émulsifiant : E322 ». Les règles d'étiquetage ne concernent que les ingrédients introduits volontairement dans la recette : la présence fortuite d'allergènes (contamination involontaire par contact avec d'autres produits sur la chaîne de fabrication, lors du stockage ou du transport) n'est pas impossible. Cependant, la législation ne concerne pas l'étiquetage de précaution et l'usage de mentions telles que « traces éventuelles », « est fabriqué dans un atelier qui utilise », « peut contenir des traces de » : leur apposition résulte d’une démarche volontaire des industriels.
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