Alors que les pharmaciens peuvent désormais remplir leur déclaration d’indicateurs pour les ROSP sur le site amelipro, la FSPF précise que l’indicateur « Logiciel d’aide à la dispensation HAS » n’est pas à remplir cette année.
Les pharmaciens ont jusqu’au 26 février pour remplir leur déclaration d’indicateurs pour les ROSP 2023 sur le site amelipro. Pour rappel, le titulaire doit, pour effectuer cette déclaration, se rendre à la rubrique « Convention - ROSP » de son compte amelipro et se connecter à l’aide de sa carte CPS ou eCPS.
« Deux onglets, pour chaque ROSP, sont disponibles », précise la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) : l’onglet « Développement du numérique en santé et amélioration de l’accès aux soins (REMU NUM) » et l’onglet « Bon usage des produits de santé (ROSP BUPS) ». Le pharmacien doit alors compléter les indicateurs de ces deux onglets et joindre les pièces justificatives lorsqu’elles sont requises. Pour transmettre ces pièces justificatives à leur CPAM, il convient de cliquer sur l’enveloppe pour connaître l’adresse mail (type conventionmed.cpamXXXX@assurance-maladie.fr) ou l’adresse postale la CPAM en question. Par ailleurs, pour connaître la liste des pièces justificatives, il convient de cliquer sur le bouton « en savoir + ».
« Attention ! », alerte la FSPF : « L’indicateur socle de la ROSP numérique “Logiciel d’aide à la dispensation HAS “est neutralisé pour l’année 2023, vous n’avez pas à renseigner cet indicateur, ni à transmettre un justificatif (bien qu’il soit actif, l’outil ne vous permet pas de renseigner cet indicateur). »
Enfin, le pharmacien valide sa déclaration en cochant à chaque fois les deux cases suivantes et en cliquant sur « Transmettre ». Le syndicat précise que le paiement provisionnel de la ROSP pour le développement du numérique en santé et l’amélioration de l’accès aux soins 2023 sera effectué en avril 2024, le paiement de la ROSP bon usage des produits de santé avant la fin du 1er trimestre 2024.
A la Une
Gel des prix sur le paracétamol pendant 2 ans : pourquoi, pour qui ?
Salon des maires
Trois axes d’action pour lutter contre les violences à l’officine
Portrait
Jérémie Kneubuhl : le pharmacien aux 50 millions de clics
Médication familiale
Baisses des prescriptions : le conseil du pharmacien prend le relais