Le laboratoire Galderma compte cinq sites répartis dans le monde entier. En France, c’est la technopole Sophia Antipolis qui abrite ce qui est sans doute le plus important centre de recherche et développement en dermatologie sur toute la planète. 500 scientifiques y travaillent développant des expertises allant de la génomique (étude du fonctionnement de la peau à l’échelle du génome) à la protémique (étude des protéomes, soit l’ensemble des protéines d’un tissu), de technologies à haute capacité jusqu’aux phases pharmacocinétiques. En Suède, le centre international de Galderma est situé à Uppsala et s’est spécialisé dans le domaine de la dermatologie esthétique et correctrice. L’établissement est responsable de l’innovation, du développement, de la production et du management des marques dont la majorité des produits sont formulés à base d’acide hyaluronique stabilisé d’origine non animale. 80 collaborateurs sont dédiés à l’étude des techniques de pointe permettant de comprendre, caractériser et modifier cet actif. À Princeton, dans le New Jersey (États-Unis), les activités du centre se focalisent sur des projets de développement clinique dont l’objectif principal est d’obtenir l’enregistrement des solutions et produits dermatologiques de Galderma aux États-Unis et au Canada. Les études cliniques qui y sont dirigées servent fréquemment à soutenir les soumissions réglementaires relatives aux produits du laboratoire à travers le monde. L’équipe de R & D de Tokyo, pour sa part, se consacre entièrement à la mise au point et à l’enregistrement des nouveaux produits destinés au marché japonais, la seconde place mondiale la plus importante en matière de dermatologie. Enfin, le site d’Egerkingen en Suisse assure le développement de nouveaux produits et le maintien des références commercialisées pour l’ensemble des principales marques d’automédication. Les activités de recherche sont principalement axées sur les troubles de la fonction de la barrière cutanée et sur la protection solaire.
À travers le monde
Publié le 03/09/2015
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3196
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