Il ne constitue pas l’approche essentielle du traitement d’une tendinopathie et n'a 'intérêt qu’à court terme, sur les seules manifestations inflammatoires.
– AINS. Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens sont administrés par voie systémique mais surtout, pour en limiter la iatrogénie, par voie topique. Leur action requiert souvent une posologie initiale élevée, poursuivie pendant 10 à 15 jours, avant arrêt progressif. Il faut cependant noter l’absence d’inflammation dans de nombreuses pathologies tendineuses : cette donnée explique l’échec relatif des AINS.
– Corticothérapie. Les infiltrations de glucocorticoïdes constituent généralement une réponse de seconde ligne, à court terme, en raison du risque iatrogène. Leur action dans les tendinopathies reste temporaire et expose à une fragilisation tendineuse.
– Facteurs de croissance autologues. La régénération tendineuse dépend, entre autres, des facteurs de croissance sériques. Il est possible de concentrer des facteurs autologues dans une fraction plasmatique prélevée chez le patient (plasma riche en plaquettes = PRP) puis de l’injecter dans le site lésionnel. Ce traitement est notamment proposé dans les épicondylites, les aponévrosites plantaires ou les tendinopathies calcanéennes.
– AINS. Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens sont administrés par voie systémique mais surtout, pour en limiter la iatrogénie, par voie topique. Leur action requiert souvent une posologie initiale élevée, poursuivie pendant 10 à 15 jours, avant arrêt progressif. Il faut cependant noter l’absence d’inflammation dans de nombreuses pathologies tendineuses : cette donnée explique l’échec relatif des AINS.
– Corticothérapie. Les infiltrations de glucocorticoïdes constituent généralement une réponse de seconde ligne, à court terme, en raison du risque iatrogène. Leur action dans les tendinopathies reste temporaire et expose à une fragilisation tendineuse.
– Facteurs de croissance autologues. La régénération tendineuse dépend, entre autres, des facteurs de croissance sériques. Il est possible de concentrer des facteurs autologues dans une fraction plasmatique prélevée chez le patient (plasma riche en plaquettes = PRP) puis de l’injecter dans le site lésionnel. Ce traitement est notamment proposé dans les épicondylites, les aponévrosites plantaires ou les tendinopathies calcanéennes.
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