- Les virus HPV identifiés sont nombreux et très contagieux.
- Certains peuvent être à l’origine de lésions bénignes ou malignes, dont des cancers des muqueuses, notamment du col de l’utérus. On considère ces infections comme d’authentiques infections sexuellement transmissibles.
- Les premières contaminations sont souvent très précoces au cours de la vie sexuelle.
- Dans près de 10 % des cas, l’organisme ne pouvant éliminer le virus, l’infection devient persistante.
- Dans un certain nombre de cas, ces dernières entraînent l’apparition de dysplasies qui ont un potentiel d’évolution plus ou moins rapide vers des lésions cancéreuses.
- Les deux vaccins anti-HPV disponibles préviennent les infections persistantes et les dysplasies liées aux HPV vaccinaux, responsables d’environ 70 % des cas de cancer du col de l’utérus et aussi d’autres localisations.
- Les recommandations générales actuelles sont de vacciner les jeunes filles entre 11 et 14 ans, avec un rattrapage possible entre 15 et 19 ans.
- Selon l’âge, la vaccination comprend 2 ou 3 injections intramusculaires, effectuées avec le même vaccin.
- La vaccination anti-HPV ne dispense pas du dépistage régulier par frottis du cancer du col.
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