Concrètement, la consommation de protéines de bonne qualité au cours des trois repas, associée à une activité physique régulière, pourrait permettre de retarder la perte musculaire, ralentir sa progression et réduire ses conséquences. C’est l’hypothèse émise par un groupe de chercheurs à l’issue du Protein Summit 2.0 (1).
Les études récentes suggèrent que l’apport en protéines devrait idéalement être de 1 à 1,5 g/kg/jour, donc supérieur à ce qui est habituellement recommandé (0,8 g/kg/jour). Au-delà de ce chiffre global, la répartition des protéines au cours de la journée semble jouer un rôle. Ainsi, les experts estiment qu’un apport de 25 à 30 g de protéines au petit déjeuner, au déjeuner et au dîner s’accompagne d’une plus grande synthèse protéique qu’un apport plus traditionnel, concentré sur un (celui de midi, le plus souvent) ou deux des trois repas. La qualité des protéines intervient également, avec un impact sur leur digestion, leur absorption et sur l’anabolisme chez les sujets âgés.
Enfin, les chercheurs mettent l’accent sur les bénéfices synergiques de la consommation de protéines et de l’exercice physique, y compris une simple marche ou une activité en charge axiale.
Ainsi, il semble important de promouvoir, dès l’âge de 40 ou 50 ans, une consommation de protéines de haute qualité répartie sur les trois principaux repas, associée à une activité physique régulière.
Les études récentes suggèrent que l’apport en protéines devrait idéalement être de 1 à 1,5 g/kg/jour, donc supérieur à ce qui est habituellement recommandé (0,8 g/kg/jour). Au-delà de ce chiffre global, la répartition des protéines au cours de la journée semble jouer un rôle. Ainsi, les experts estiment qu’un apport de 25 à 30 g de protéines au petit déjeuner, au déjeuner et au dîner s’accompagne d’une plus grande synthèse protéique qu’un apport plus traditionnel, concentré sur un (celui de midi, le plus souvent) ou deux des trois repas. La qualité des protéines intervient également, avec un impact sur leur digestion, leur absorption et sur l’anabolisme chez les sujets âgés.
Enfin, les chercheurs mettent l’accent sur les bénéfices synergiques de la consommation de protéines et de l’exercice physique, y compris une simple marche ou une activité en charge axiale.
Ainsi, il semble important de promouvoir, dès l’âge de 40 ou 50 ans, une consommation de protéines de haute qualité répartie sur les trois principaux repas, associée à une activité physique régulière.
Dr Isabelle Hoppenot
(1) Paddon-Jones D et al. Protein and healthy aging. Am J Clin Nutr 2015 ; 101 (Suppl.) : 1339S-45S.
(1) Paddon-Jones D et al. Protein and healthy aging. Am J Clin Nutr 2015 ; 101 (Suppl.) : 1339S-45S.
Pharmaco pratique
Accompagner la patiente souffrant d’endométriose
3 questions à…
Françoise Amouroux
Cas de comptoir
Les allergies aux pollens
Pharmaco pratique
Les traitements de la sclérose en plaques