L’ÉTUDE Interphone, lancée il y a dix ans dans treize pays, ne conclut pas à un risque accru de cancer cérébral pour les utilisateurs de téléphones portables, mais les investigations doivent se poursuivre. La majorité des sujets de l’étude n’étaient pas des utilisateurs intensifs de téléphones portables, avec un temps médian de 2 heures à 2 h 30 par mois. Les plus gros utilisateurs (10 % du total) ne dépassaient pas une demi-heure par jour. Interphone fait néanmoins apparaître un risque de gliome de 40 % supérieur et un risque de méningiome de 15 % supérieur pour les personnes déclarant une utilisation fréquente et habituelle « du même côté de la tête que la tumeur ».
Risques liés aux portables
L’incertitude demeure
Publié le 20/05/2010
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2751
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