- Les antalgiques usuels (paracétamol, aspirine, antiinflammatoires, codéines) sont peu ou pas efficaces.
- Les médicaments les plus utilisés dans les douleurs neuropathiques sont certains antidépresseurs et antiépileptiques. Ils nécessitent des prises continues et non pas à la demande.
- Leur efficacité sur la douleur est souvent partielle.
- Leur délai d’action peut être retardé, de quelques jours à quelques semaines.
- Leur activité peut être variable selon les types de symptômes douloureux.
- Les posologies doivent être lentement progressives ou dégressives en cas d’échec ou dans un objectif d’arrêt.
- L’efficacité du traitement doit être évaluée à la fin de la phase de titration et régulièrement réévaluée par la suite.
- En cas d’efficacité, le traitement doit être poursuivi plusieurs mois.
- Plusieurs traitements successifs peuvent être testés en cas de besoin ; des associations sont possibles.
3 questions à…
Françoise Amouroux
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