La première étude du « New England Journal of Medicine », menée dans une cohorte de 93 survivants au Sierra Leone, montre que le virus peut être détecté par PCR au-delà de 9,5 mois. Inclus à différents délais, la moitié d’entre eux (n=46/93, 49 %) avaient du virus persistant dans le sperme à l’ inclusion.
Parmi eux, les 9 qui avaient pu avoir un prélèvement à 2-3 mois étaient tous testés positifs (100 %). Puis, le nombre de sujets positifs déclinait au fil du temps, passant à 65 % (n =26/40) à 4-6 mois, puis à seulement un quart (n=11/46) à 7-9 mois. Un individu était toujours testé positif 9,5 mois après la phase aiguë. La seconde étude rapporte le cas d’une transmission sexuelle via le sperme, d’un survivant à sa partenaire, en mars 2015 au Liberia. La contamination aurait eu lieu près de 6 mois, au moins 179 jours après le début de l’infection.
L’analyse moléculaire a mis en évidence que les génomes viraux présentaient 3 substitutions particulières, absentes des autres séquences EBOV d’Afrique de l’Ouest et différentes de la dernière en date dans la chaîne de transmission au Liberia.
Deux études dans le « NE JM »
Publié le 22/10/2015
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3210
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