En plus de devoir rembourser plus de 870 000 euros à la CPAM du Gard, un pharmacien a été condamné à 3 ans de prison, dont 2 ans avec sursis, 5 000 euros d'amende, ainsi qu'une interdiction de gérer une pharmacie pendant 4 ans. Entre janvier 2013 et décembre 2018, il a falsifié des ordonnances, surfacturé des prescriptions et utilisé des ordonnances au-delà de leur date de validité. Au tribunal, le prévenu a expliqué ses gestes par la situation financière délétère de son officine, qualifiant sa propre attitude de « suicide professionnel » et s'est excusé auprès de la CNAM, de sa famille et du reste de la profession. S'il ne peut plus diriger d'officine, il pourra en revanche continuer à exercer en tant que pharmacien salarié, une fois sa peine de prison (avec un bracelet électronique) purgée.
Escroquerie à la Sécu
Un pharmacien de Nîmes condamné
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Publié le 12/01/2023
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Source : Le Quotidien du Pharmacien
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