Le syndicat des pharmaciens d’Eure-et-Loir (FSPF) qui contestait l’autorisation accordée à un médecin généraliste de délivrer des médicaments, a été retoqué par la Cour administrative d’Appel de Nantes. Cette dernière n’a pas retenu les arguments avancés par les pharmaciens comme la possibilité de livrer des médicaments à domicile.
La Cour d’appel de Nantes a confirmé la décision de l’ARS qui retenait l’isolement géographique des patients de cette généraliste, dont 26 % sont âgés de plus de 70 ans. Déboutés en deuxième instance, les pharmaciens comptent néanmoins maintenir leur vigilance à l'égard de la propharmacie, une pratique qu’ils qualifient d’anachronique et de non justifiée, tout particulièrement dans la Beauce.
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