Le parquet de Paris vient de classer l’enquête sur certaines pilules contraceptives de 3e et 4e générations, accusées de favoriser de graves pathologies veineuses et artérielles. Depuis 2012, 130 plaintes avaient été déposées, visant 29 marques de pilules, huit laboratoires ainsi que l’Agence nationale du médicament et des produits de santé (ANSM). Le parquet a conclu que l'enquête ne permettait pas d'établir avec certitude l'existence d'un lien de causalité entre la prise du contraceptif et les pathologies présentées par les plaignantes. Néanmoins, le combat judiciaire n’est pas terminé : trois femmes vont déposer de nouvelles plaintes avec constitution de partie civile visant des laboratoires et l'ANSM.
Pilules de 3e et 4e générations
Affaire classée… ou presque
Publié le 21/09/2017
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3373
Projet de loi sur la fin de vie
Aide à mourir : faut-il une clause de conscience pour les pharmaciens ?
Jeux olympiques et paralympiques
« Pass Jeux » pour circuler dans Paris : la plateforme de demande est ouverte
A la Une
La CNAM propose une consultation de déprescription à 60 euros pour les médecins
À la Une
Journée du 30 mai, grève des gardes, pétition… Où en est le mouvement de mobilisation des pharmaciens ?