L’éco-organisme DASTRI propose un MOOC, un outil de formation disponible en ligne, qui vise notamment à aider les pharmaciens à s’engager dans des démarches éco-responsables.
Ce MOOC est disponible gratuitement sur le site www.fun-mooc.fr. Nommé « Santé et éco-responsabilité en pharmacie, agir avec DASTRI », il est avant tout destiné aux pharmaciens mais aussi aux patients utilisant des dispositifs médicaux perforants en auto-traitement. Cette formation en ligne est composée de trois modules (la filière REP DASTRI, le pharmacien : acteur clé de la filière DASTRI, et éco-responsabilité en santé) pour une durée totale de six heures. Le cursus s’étend sur 14 semaines, au rythme d’environ 30 minutes par semaine. « Chaque module est évalué par un quiz à correction automatique. L’ensemble du cours est évalué par une auto-évaluation finale. Un open badge de suivi avec succès sera délivré aux apprenants ayant obtenu un score global de 70 % de bonnes réponses à l'ensemble des quiz évaluatifs », précise DASTRI qui a conçu cette formation en partenariat avec l’Institut national de la consommation.
L’objectif du MOOC est, premièrement, d’offrir des réponses aux équipes officinales et à leur patientèle sur la fin de vie des dispositifs médicaux perforants utilisés pour se soigner en auto-traitement. Quelles sont les pathologies concernées ? Comment utiliser les boîtes jaunes et violettes ? Comment les commander et les faire collecter gratuitement ? Cet outil en ligne permet aussi de mieux comprendre le contexte dans lequel s’inscrit l’éco-organisme DASTRI et entend enfin amener les pharmaciens « à engager une réflexion sur l’impact du système de santé face aux enjeux de la transition écologique ».
Médication familiale
Baisses des prescriptions : le conseil du pharmacien prend le relais
Caisse d’assurance vieillesse des pharmaciens
Retraite des pharmaciens : des réformes douloureuses mais nécessaires
Auvergne-Rhône-Alpes
Expérimentation sur les entretiens vaccination
Excédés par les vols et la fraude à l’ordonnance
Des pharmaciens marseillais créent un groupe d’entraide sur WhatsApp