Trois autres communications ont été présentées en session plénière.
– L’étude TAILORx, publiée dans « The New England Journal of Medicine », montre l’intérêt d’un score de risque basé sur 21 gènes dans le cancer du sein, le test Oncotype DX développé par les Instituts de la santé américains (NIH). Ce type de test génique, comme le MammaPrint, pourrait permettre une désescalade thérapeutique chez les patients à risque intermédiaire.
Dans l’étude, chez les femmes ayant un score intermédiaire (entre 11 et 25) pour un cancer NO et positif aux œstrogènes, la survie sans progression s’est révélée comparable dans le groupe hormonothérapie + chimiothérapie et le groupe hormonothérapie seule. Une analyse en sous-groupe montre néanmoins un bénéfice à la chimiothérapie chez les femmes âgées de moins de 50 ans.
– Dans le cancer du poumon non à petites cellules à un stade avancé ou métastatique, l’étude KEYNOTE-042 a comparé la survie globale entre le groupe expérimental traité par pembrolizumab et le groupe traité par chimiothérapie à base de platine (carboplatine + paclitaxel ou carboplatine + pemtrexed).
– Dans le rhabdomyosarcome à haut risque, une chimiothérapie d’entretien à faible dose a été testée chez des enfants dans l’étude EpSSG (European Paediatric Soft tissue Sarcoma Study Group).