Phytothérapie, aromathérapie, homéopathie, apithérapie… Le marché des traitements naturels est en pleine croissance. 41 % des Français* les plébiscitent pour se soigner, homéopathie en tête (25 %). Ils les jugent plus sains que les médicaments conventionnels et ils leur accordent un bon indice de confiance (7,5/10).
Le profil des utilisateurs et plutôt féminin (64 %) et jeune (41 % sont des enfants et 53 % ont moins de 45 ans). Au cours des deux dernières années, plus d'un tiers des utilisateurs ont augmenté leur consommation, et trois quarts des non-utilisateurs envisagent d'y avoir recours à l'avenir. Le marché conserve un grand potentiel de croissance et il se démocratise : les nouveaux entrants permettent d'élargir la cible à un profil plus masculin (+12 points) et à des populations moins aisées (+14 points).
Les allégations relatives à la naturalité et à la fabrication française (76 %) sont les critères les plus déterminants dans le choix des compléments alimentaires et des produits de phytothérapie. Le prix est minoritaire (23 %) et l'attrait des mentions sans gluten (26 %) et vegan (22 %) reste faible dans l'absolu, mais assez élevé en regard de la population de référence.
En revanche, la méconnaissance de l'offre de santé naturelle et des doutes sur l'efficacité de ces produits sont les principaux freins (38 %). Un important travail d'éducation reste à faire auprès des non-utilisateurs. « Il n'y a pas d'opposition entre les deux types de thérapies conventionnelle et naturelle, elles sont complémentaires, l'essentiel de promouvoir une utilisation conjointe éclairée, précise le Dr Marion Feugier, pharmacienne à Mallemoisson (Alpes-de-Haute-Provence). Cela suppose une connaissance solide et rigoureuse de la pharmacopée conventionnelle et une connaissance poussée des plantes médicinales et aromatiques. L'expertise et la caution du pharmacien sont des atouts majeurs. »
La puissance de l'Arkototum intégral
La concentration en principes actifs issus de l'intégralité de la plante (totum) ainsi que leur meilleure biodisponibilité par rapport à une forme synthétique sont des arguments de poids pour expliquer l'efficacité des produits de phytothérapie.
« Le totum intégral est la seule forme de phytothérapie qui restitue 100 % des constituants et, ensemble, ils agissent en synergie. En l'associant à l'extrait d'une autre plante hautement concentré en actifs ciblés, les Laboratoires Arkopharma ont inventé une nouvelle technologie, la Phyto Intégrale, détaille Audrey Lamour, chef de groupe Thérapies Naturelles du laboratoire. Elle garantit une richesse optimale en actifs, une composition 100 % végétale, une posologie simplifiée (deux gélules en une prise par jour) et un titrage en actifs pour un maximum d'efficacité. »
Ainsi, dans le cas de l'harpagophytum (plus de 85 actifs différents), la fraction hydrophile a une action antalgique et chondroprotectrice, la fraction lipophile est anti-inflammatoire et la fraction volatile a des effets antioxydants protecteurs des chondrocytes. Les curcumines, actifs ciblés à haute concentration de curcuma (190 mg), ont une action anti-inflammatoire aussi efficace que le diclofénac. En associant l'arkototum intégral d'harpagophytum et 190 mg curcumines ciblées, on obtient une action complémentaire renforcée pour améliorer la flexibilité et la mobilité articulaire. Trois autres présentations d'Arkogélules Complex composent la nouvelle gamme Phyto Intégrale (voir encadré).
* D'après une conférence de presse d'Arkopharma. Étude Ipsos février 2019 auprès de 2 000 personnes âgées de 16 à 75 ans.
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