TANDIS que l’assurance-maladie s’apprête à lancer une campagne pour identifier les recours atypiques de la mention « non-substituable » (NS), le GEMME affirme que son utilisation par les médecins « n’est pas le principal élément du faible usage des médicaments génériques ». Selon l’association, les causes majeures sont beaucoup plus structurelles : absence de confiance dans ces médicaments du grand public « entretenue par une poignée d’émetteurs négatifs, sans aucun fondement, et non contrecarrés par une communication publique d’envergure visant à rétablir la confiance », mais aussi « la singularité de la structure de la prescription en France, favorisant les médicaments nouveaux (60 % des quantités prescrites) au détriment des médicaments référents (40 % des quantités prescrites) alors que ces proportions sont inverses chez nos voisins Européens ».
Usage du NS
Le GEMME relativise
Publié le 22/05/2014
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3095
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