L’ANSM a publié une nouvelle version des bonnes pratiques de pharmacovigilance qui se substitue à celle de 2018. En pratique, les pharmaciens ont l’obligation de déclarer immédiatement tout effet indésirable susceptible d’être dû à un médicament ou produit, et dont ils ont connaissance, que cet effet soit grave ou non, préférentiellement via le portail de signalement des événements sanitaires indésirables. Le champ des événements concernés a été élargi. Les pharmaciens sont encouragés à déclarer toute erreur médicamenteuse (même sans effet indésirable), toute suspicion d’inefficacité thérapeutique, de résistance inattendue à des traitements, ainsi que toute suspicion de transmission d’agents infectieux liée à un médicament ou produit, ou encore toute exposition à un médicament au cours de la grossesse ou de l’allaitement (même sans survenue d’effet indésirable).
Pharmacovigilance
De nouveaux éléments à déclarer
Par
Publié le 07/07/2022
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien
Industrie pharmaceutique
Gilead autorise des génériqueurs à fabriquer du lénacapavir
Dans le Rhône
Des pharmacies collectent pour les Restos du cœur
Substitution par le pharmacien
Biosimilaires : les patients sont prêts, mais…
D’après une enquête d’UFC-Que choisir
Huit médicaments périmés sur dix restent efficaces à 90 %