Dans la plupart des cas, le pharmacien ne connaîtra pas le résultat du test, puisque celui-ci est réalisé en dehors de la pharmacie. L'accompagnement à l'officine consiste donc à anticiper le choc du résultat, positif ou négatif, afin de ne pas laisser l'individu seul face au diagnostic, dans une détresse psychologique. Il faut apprendre à gérer les questions ou la panique susceptible d'envahir le client. Selon la situation, des documents d'information, les coordonnées de structures d'aide, ou des produits divers (produits sans gluten, répulsifs tiques, compléments alimentaires) peuvent être proposés. Dans le cas de l'autotest VIH, des structures dédiées (CeGIDD) et des associations existent pour soutenir les personnes séropositives, d'un point de vue thérapeutique, mais également psychologique et social. Quel que soit l'autotest réalisé, il est donc recommandé de disposer, en pharmacie, des coordonnées de ces structures locales ou des associations de patients.
Qu'est-ce qu'on fait du résultat ?
Par
Publié le 15/12/2016
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3312
Industrie pharmaceutique
Gilead autorise des génériqueurs à fabriquer du lénacapavir
Dans le Rhône
Des pharmacies collectent pour les Restos du cœur
Substitution par le pharmacien
Biosimilaires : les patients sont prêts, mais…
D’après une enquête d’UFC-Que choisir
Huit médicaments périmés sur dix restent efficaces à 90 %