PIERRE DARPHIN, fondateur de la marque, était un biocosméticien visionnaire en quête d’excellence. Il a innové et révolutionné le soin de la peau et en a fait un art. « Notre nouveau message est d’être l’expression d’une vision engagée, de réaffirmer les valeurs et l’identité de la marque, de retravailler la dimension sensorielle en revenant sur nos racines, confie Hélène Frey, directrice marketing. Les maîtres mots de notre engagement sont l’inspiration, l’innovation et la vision créatrice qui fait une place de choix à l’émotion, au bien-être et au savoir-faire. Darphin doit être la rencontre du plaisir de l’efficacité. Notre nouvelle signature est : plus qu’un soin, un art. Par art, nous entendons maîtrise, dextérité, excellence. » Le concept de la marque est basé sur l’exigence extrême, l’expertise scientifique et l’expérience institut qui permet de reproduire les bienfaits des soins chez soi. La rencontre inédite entre l’utilisatrice et sa peau est due à la force des actifs naturels et à la sensorialité des produits (galénique, odeur, couleur) qui crée une harmonie des sens sur mesure. « La femme doit nouer des relations d’intimité avec la marque, elle doit se sentir en affinité avec elle et en osmose avec les produits qu’elle utilise, notre différence tient dans le raffinement et l’élégance » souligne la directrice marketing. La philosophie « high touch » adoptée par Darphin combine une approche globale des soins et des conseils personnalisés. À chaque peau son programme : le sérum, spécialité et produit phare de la marque qui en propose un grand choix, cible une priorité. Il s’agit d’un soin d’attaque intensif dont la formule épurée délivre des ingrédients très actifs et biodisponibles immédiatement. Son action est complétée par une crème qui va rééduquer et réparer la peau jour après jour, elle est choisie en fonction des imperfections à corriger et des résultats attendus par l’utilisatrice.
Nouvelle stratégie commerciale.
« Nous voulons améliorer et faire évoluer les services que nous souhaitons apporter aux utilisatrices et à nos clients, c’est-à-dire les pharmaciens d’officine, déclare Sébastien Rousseau, directeur général France. Par nature, un circuit de distribution spécifique doit offrir une proximité avec les consommateurs et les consommatrices, avoir une expertise professionnelle reconnue, et être un gage de confiance. » Pour que le conseil soit optimal il faut prendre en compte les besoins de chaque pharmacie, étudier au sein de chaque pharmacie l’ensemble des spécificités (typologie d’équipe et de clientèle) et analyser la typologie de la clientèle Darphin en général. « Notre objectif est de (ré)impliquer le pharmacien dans le conseil afin qu’il se (ré)approprie la marque, explique Sébastien Rousseau. Nous avons revu l’organisation régionale et commerciale de nos équipes en créant un binôme en interne qui comprend un responsable de région et un(e) chargé(e) de développement des ventes. » Ce dernier a pour missions d’implanter la gamme selon le nouveau merchandising, de former les équipes officinales et de les accompagner en leur transmettant un savoir-faire de vente et de conseil. Il doit aussi assurer l’animation et mettre en place des opérations événementielles pour mieux faire connaître la marque et aider à recruter de nouvelles clientes. La politique « Trade marketing » de Darphin a quatre priorités : développer les achats des consommatrices déjà fidélisées avec la découverte de nouveaux produits ; séduire de nouvelles clientes dans une logique de partenariat et de positionnement tarifaire avec le pharmacien ; établir des contrats, étape par étape, avec les nouveaux distributeurs (formation, implantation, conseil) ; offrir l’expérience Darphin autour d’une thématique précise avec PLV, échantillonage, kit opérationnel. « Nous ne sommes pas dans une logique de négociation mais de construction, précise le responsable France. Derrière la marque, il y a une dimension humaine, une passion, un lien très fort, et nous nous sommes donné les moyens de mettre en place cette nouvelle stratégie. Nos équipes ont la compétence et la motivation pour réussir ce challenge. »
Industrie pharmaceutique
Gilead autorise des génériqueurs à fabriquer du lénacapavir
Dans le Rhône
Des pharmacies collectent pour les Restos du cœur
Substitution par le pharmacien
Biosimilaires : les patients sont prêts, mais…
D’après une enquête d’UFC-Que choisir
Huit médicaments périmés sur dix restent efficaces à 90 %