AVEC L’ÂGE, la multiplication des radicaux libres entraîne une baisse des défenses naturelles qui se répercute au niveau de l’ADN, première molécule à être touchée, mais aussi au niveau des protéines et des lipides dont le taux dans le stratum corneum diminue. Parallèlement, l’activité protéolytique accrue des métalloprotéases provoque des anomalies de structure comme une perte de fermeté, des rides, des pores dilatés et une érythrose, ainsi qu’une perte fonctionnelle de la peau (hydratation, mélanogenèse). La baisse de qualité et d’énergie des nouvelles cellules formées se traduit par un affaissement et une dégradation de l’architecture cutanée. Le nombre de kératinocytes diminue, leur action est ralentie, la cohésion des cornéocytes est moins bonne, les fibroblastes présents dans le derme deviennent moins réactifs et ils produisent moins de collagène et d’élastine. Le réseau de filaments réticulés tridimensionnels de la jonction dermo-épidermique (JDE) se désorganise : la fibronectine et la laminine ne jouent plus correctement leur rôle d’ancrage, d’assemblage et de cohésion. L’aplatissement de la JDE se répercute au niveau de la surface cutanée : les traits du visage se relâchent, les rides se creusent, l’épaisseur de l’épiderme s’amenuise. La matrice, moins bien alimentée, se fragilise et s’appauvrit et toutes les fonctions y compris immunologiques de la peau sont altérées.
Pour lutter efficacement sur le vieillissement naturel lié à l’âge et la dégradation de la structure cutanée, les laboratoires Noreva-LED ont conçu la première gamme anti-âge tridimensionnelle. « L’idée directrice était de combiner au sein d’une vectorisation spécifique optimale, deux principes actifs synergiques permettant d’agir à la fois sur l’épiderme, le derme et la JDE », explique le Dr Jacques Peyrot, ancien chef de clinique des hôpitaux de Toulouse.
Lisser, raffermir et repulper.
Le Regenol DNA est un complexe multilamellaire qui comble les déficits épidermiques grâce à des lipides et des céramides qui redonnent à la peau sa souplesse. Il active la synthèse des lipides structurels et rétablit la barrière lipidique du stratum corneum. Il forme également un véritable bouclier antiradicalaire qui va protéger l’ADN, et il restaure l’énergie cellulaire et la communication intercellulaire. Les cellules peuvent réexprimer leur patrimoine génétique et donner naissance à des cellules filles qui vont régénérer les tissus et désactiver le processus de vieillissement. Le Fibrolastyl 3D est un phytobioactif naturel (extrait d’aneth) qui intervient directement sur les filaments d’ancrage de la JDE en stimulant la synthèse de la fibronectine, de la laminine et du collagène et en activant les molécules d’assemblage. Les microfibrilles et la tropoélastine se rassemblent pour reformer de l’élastine, remettant ainsi sous tension l’architecture cutanée. Résultat : les rides, les ridules et les micro-sillons sont comblés et l’ovale du visage se redessine, il retrouve sa fermeté et son volume d’origine. Les résultats ont été prouvés cliniquement lors d’une étude monocentrique randomisée, en double aveugle et en hémivisage. Elle a été menée sur 25 femmes âgées de 50 à 70 ans à raison d’une application du sérum le soir pendant huit semaines versus placebo (n=25). L’évaluation des signes du vieillissement cutané a été faite à T0, T4 et T8 par des mesures instrumentales. Les différences significatives à T8 versus placebo font apparaître une peau plus lisse (+64 %), plus ferme (+50 %), repulpée (+33 %) et moins de rides (-56 %). Ces résultats s’accompagnent d’un effet éclat et d’une illumination du teint.
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