Communiquer au-delà des comptoirs
« Nous nous sommes équipés de neuf écrans linéaires digitaux en décembre dernier auprès du fournisseur de notre robot, Gollmann Zwick, soit une couverture de 20 mètres de large environ. Notre espace de vente est vaste, plus de 400 m2, et ce qui était important pour nous c’était de pouvoir communiquer non seulement sur l’OTC mais aussi sur ce qu’il y a devant les comptoirs. La très bonne visibilité, le dynamisme qu’engendre l’animation de ces écrans a un impact fort auprès des patients et des clients. Les boîtes sont plus grosses, ils les voient de plus loin. De plus, dès lors que l’on clique sur un produit et qu’apparaissent des conseils associés, les patients y sont sensibles et cela leur donne des idées d’achats supplémentaires. »
De très nombreuses possibilités
« Cet affichage dynamique autorise de très nombreuses possibilités, comme par exemple la diffusion de messages selon les plages de fréquentation dans la journée, ou bien comme celle de relayer une campagne publicitaire télévisuelle que les patients reconnaissent tout de suite. C’est plus efficace que les écrans classiques que finalement les clients ne regardent pas trop. Parmi les autres avantages offerts par ces linéaires digitaux, il y a celui du pouvoir de négociation supplémentaire que cela nous donne face aux laboratoires pour ce qui concerne la façon de faire figurer les produits en bonne place. »
Travailler sur les bases de données
« Nous travaillons avec les laboratoires pour concevoir les animations et créons aussi les nôtres propres. Il y a eu cependant quelques difficultés au départ, les fabricants de ce type d’écrans sont tous étrangers et les bases de données sur lesquelles ils travaillent ne sont pas toujours celles que l’on trouve en France. Pendant quelques semaines, nous avons eu quelques difficultés, nous n’avions pas assez d’images des produits français et par ailleurs, la communication n’est pas simple avec notre LGO qui n’ouvre pas ses bases de données comme ça. Une personne de l’équipe passionnée d’informatique s’est beaucoup impliquée et aujourd’hui, les bases de données sont suffisantes et cela tourne bien. »
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