Stanislas Dunoyer, titulaire de la pharmacie Dunoyer à Elbeuf, en Seine-Maritime, ne saurait plus se passer de la rigueur imposée par son logiciel pour le contrôle de l’iatrogénie.
n Un confort de travail.
« En adoptant Leo en septembre 2007, nous avons complètement changé notre façon de travailler. Le logiciel est très strict sur les interactions et la délivrance est plus sécurisée. Par ailleurs, il y a moins de recherches à faire. Nous pouvons toujours compter sur nos connaissances bien sûr, mais cela apporte un confort de travail, renforcé par le DP. »
n Un système sur alerte maximum.
« J’ai mis le système sur l’alerte maximum. Je ne peux valider une facture tant que je n’ai pas donné mon accord : le logiciel exige une réponse. Cela peut servir n’importe quand, comme ce matin par exemple où il m’a averti que le patient, un enfant âgé de 11 ans et neuf mois, ne pouvait pas prendre un médicament interdit aux moins de 12 ans. Évidemment, les interactions entre médicaments ne sont pas fréquentes, mais c’est justement là l’intérêt d’un tel logiciel, cela maintient notre vigilance. »
n Avoir plus de contacts avec les médecins.
« Cette application est ergonomique. Il m’est arrivé par exemple d’accueillir une personne parmi mes collaborateurs sans avoir eu le temps de lui expliquer comment cela marchait. Cela ne l’a pas bloquée, elle a vite compris et l’a trouvée fluide. Cela étant, par principe, j’aime bien quand même expliquer son fonctionnement. Le souhait que j’aurais est d’avoir plus de communication avec les médecins. Or pour cela, nos bases de données de contacts ne sont pas encore bien à jour. Cela dépend de l’ordre des médecins.
»
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