Selon Jérôme de Mautort, le module externe proposé par Almerys entre en contact avec le système informatique de l’officine pour interroger les droits des assurés lorsqu’il s’agit d’un médicament remboursé.
« Une fois la part mutuelle certifiée, le système Almerys répond en indiquant le taux de prise en charge, ce qui garantit le paiement absolu, le taux de rejet étant de 0,2 voire 0,1 % », détaille le directeur du développement d’Almerys.
En ce qui concerne les médicaments non remboursés, le dispositif va d’abord « désanonymiser » le flux afin de pouvoir vérifier si le médicament est bien pris en charge par la complémentaire, dans le cadre d’un panier de soins par exemple.
« La cotation est envoyée au pharmacien et le flux est immédiatement réanonymisé à notre niveau », assure Jérôme de Mautort. « Seules sont conservées chez nous, les données concernant l’âge du patient et son département d’habitation, et ce à des fins statistiques », garantit-il.
Comment fonctionne l’interface d’Almerys ?
Publié le 18/02/2016
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M. B.
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3241
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