L’éco-organisme DASTRI, en charge de la collecte et l’élimination des déchets d’activités de soins à risque infectieux (DASRI) piquants, coupants et tranchants (PCT) produits par les patients en autotraitement (PAT), rend public son 2e baromètre IFOP sur les pratiques des usagers.
Pour la première fois, l’institut a consacré une partie de son étude aux pharmaciens et a mis les résultats en regard de son premier baromètre, qui s’intéressait aux médecins. Sans conteste, le pharmacien est le tout premier relais d’information pour le patient. Les pharmaciens (96 %) expliquent aux patients où rapporter leur boîte à aiguilles pleine (contre 42 % des médecins) et comment gérer leur DASRI (91 % versus 37 % des médecins).
Les officinaux se sentent particulièrement investis d’un rôle de sensibilisation et d’accompagnement de leur patientèle dans la gestion des DASRI (99 %). Ils sont aussi 62 % à déclarer que les patients leur demandent des informations sur la filière DASTRI et son fonctionnement, et un pharmacien sur deux n’hésite pas à aller chercher lui-même ces informations. Les patients désignent d’ailleurs le pharmacien comme le premier vecteur d’informations sur le tri de ces déchets (40 %), devant le médecin spécialiste (15 %), les associations de patients (14 %) et le médecin généraliste (12 %).
DASTRI : les pharmaciens, premier relais d’information
Par
Publié le 15/10/2015
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendupharmacien.fr
A la Une
Gel des prix sur le paracétamol pendant 2 ans : pourquoi, pour qui ?
Salon des maires
Trois axes d’action pour lutter contre les violences à l’officine
Excédés par les vols et la fraude à l’ordonnance
Des pharmaciens marseillais créent un groupe d’entraide sur WhatsApp
Cas de comptoir
Douleur et fièvre au comptoir