Comme sur des roulettes. La première année de santé, expérimentée à Bordeaux, a connu peu de ratés. « Administration, responsables pédagogiques et étudiants, tout le monde a été arrangeant », souligne Matthieu Husson, étudiant en 5e année officine et nouveau président de l’ANEPF (Association nationale des étudiants en pharmacie). Il y a bien eu quelques soucis d’organisation, qui étaient prévisibles. Les enseignements dirigés ont été rognés, du fait d’effectifs trop importants. « Et des pannes sur le matériel de visioconférence ont conduit à l’annulation de cours, diffusés dans quatre amphithéâtres en simultané », témoigne l’étudiant bordelais. Une expérimentation similaire a été menée à la faculté de Grenoble. Mais dans d’autres villes, ça patauge toujours. À Paris, où il y a deux facultés de pharmacie pour une demi-douzaine de facultés de médecine, l’organisation s’avérait délicate, mais a été largement anticipée. Selon l’ANEPF, les facultés de Lyon, Marseille, Nantes, Brest et Nice posent encore problème à ce jour. À Saint-Étienne, par exemple, il est difficile d’organiser des enseignements communs sans la présence d’une faculté de pharmacie.
Bon point pour Bordeaux
Publié le 26/11/2009
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2706
Tensions d’approvisionnement
Anticiper le retour progressif des analogues GLP-1
A la Une
Un calendrier vaccinal 2024 plein de nouveautés
En investissant dans la parapharmacie
Amazon met un pied sur le marché italien
À l’Académie de pharmacie
L’avenir des services en pharmacie