MULHOUSE est forte de ses pôles de compétitivités qui, associant ses écoles d’ingénieurs et ses 7 facultés, couvrent la filière automobile, la voiture du futur, la biotechnologie, l’innovation thérapeutique et les fibres naturelles.
Avec 110 514 habitants en 2006, la démographie de la ville est en très légère croissance par rapport à 1999. Elle est au centre d’une communauté d’agglomérations de 172 684 habitants avec 16 communes et une croissance annuelle supérieure à celle de Mulhouse (0,23 % par an).
La ville compte 35 pharmacies réparties sur 43 iris. Soit une pharmacie pour 3 157 habitants représentant une population équivalente de 2 523 contre 2 800 au niveau national. Soit un équipement officinal sensiblement supérieur à la moyenne nationale (11 %).
Niveau de demande et densité officinale par iris.
La carte en dégradé de bleu visualise les disparités du niveau de demande par habitant d’un iris à l’autre. Le meilleur iris (0703 - Rebberg Sud Est) se situant à 1 531 euros par habitant, soit 2,5 fois supérieur à la moyenne nationale. À l’inverse, un iris correspond à un niveau de demande par habitant (1502 - Bourtzwiller Sud Est) de l’ordre du tiers de la demande nationale. Soit un écart du niveau de demande d’un iris à l’autre de l’ordre de 1 à 7 s’expliquant en bonne part par les disparités du niveau de vie entre iris et également aux disparités de pyramide des âges d’un iris à l’autre ; certains iris ayant un poids des plus de 60 ans supérieur de 30 % à la moyenne nationale.
La carte fournit également le positionnement des pharmacies en nombre par iris.
Potentiel de chiffre d’affaires par iris et poids théorique de la parapharmacie.
La carte en dégradé de rouge indique le potentiel de chiffre d’affaires médicament de chaque iris. Ce potentiel varie de 0,29 M d’euros (1502 - Bourtzwiller Sud Est) à 3,99 M d’euros (0701 - Rebberg Nord).
Pour ce qui est du niveau de demande potentielle de parapharmacie, en référence à une moyenne nationale de 17 % (TVA 5,5 % et 19,6 %), on observe qu’il varie d’un iris à l’autre dans une proportion de l’ordre de 1 à 7.
Cette estimation du poids potentiel de non-médicaments peut s’avérer très différente de la réalisation effective. La raison essentielle en est la fréquente impossibilité d’offrir aux clients un espace susceptible de répondre à leurs attentes.
Densité officinale face à la demande par iris (en potentiel de CA).
Le graphique en nuage de points montre le positionnement de chaque quartier-iris évalué à la fois en potentiel EFM (abscisse) et en nombre d’officines (ordonné). On constate que :
16 iris ne disposent pas d’officines, dont l’un couvre un potentiel de plus de 5 500 équivalent français moyen (EFM) et un autre de l’ordre de 4 200 EFM.
22 iris comportent une seule pharmacie dont 18 ayant un potentiel inférieur à 2 500 EFM.
6 iris disposent d’un potentiel par officine inférieur à 1 000 équivalent français moyen, ce qui implique une densité officinale importante, qui ne se justifie au moins partiellement que par la prise en charge d’une clientèle débordant largement le quartier.
L’iris le mieux pourvu en officines correspond à une pharmacie pour 530 EFM.
Voici la prochaine ville retenue pour notre page géopharmacie : Cannes. Mais peut-être avez-vous une suggestion à nous faire (autres villes, contenu et forme de la rubrique…). La ou les pharmacies dont la suggestion a été retenue recevront un zoom plus précis de la ville.
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