Compte tenu du contexte particulièrement difficile, l’USPO veut jouer la carte de l’unité. Elle appelle ainsi à la création d’une intersyndicale jusqu’à la fin de l’année, afin de mieux négocier. « Si nous avançons en ordre dispersé, la profession ne s’en sortira pas », estime son président, Gilles Bonnefond.
« J’y suis ouvert », répond le président de la FSPF, qui dit ne pouvoir que se réjouir à l’idée de voir les organisations professionnelles aller dans le même sens. Toutefois Philippe Gaertner n’entend pas faire front commun pour négocier 1 ou 2 % d’honoraires. « À la FSPF, nous pensons déjà que 25 % ce n’est pas suffisant », lance-t-il. D’ailleurs, la part d’honoraires dans les pays ayant déjà mis ce mode de rémunération en place, dépasse plutôt les 80 %, fait-on remarquer à la Fédération.
Fermement opposée à l’honoraire, l’UNPF, par la voix de sa présidente, Françoise Daligault, se dit néanmoins favorable à un rapprochement syndical, à condition « d’avoir une défense de la profession allant dans le même sens ».
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