- Alain Roudergues, secrétaire général d'Astéra, sur le modèle allemand de succursales :
« Je ne suis pas certain qu'il ait été construit pour permettre aux jeunes de rentrer dans le capital d'officines. En tout cas, cela n'a jamais été un argument mis en avant. Les pharmacies allemandes ne considèrent pas le problème du capital tel qu'il peut se poser en France. En Allemagne, une pharmacie vaut 35 % du chiffre d'affaires. »
- Jean-Jacques Zambrowski, économiste de la santé, au sujet de la parution retardée des décrets d'application sur les SPF-PL :
« Les pharmaciens imputent ce retard aux ministères de la Santé et de l'Économie, qui n'auraient pas le même avis sur la question. Le gouvernement rejette la faute sur des pharmaciens incapables de se mettre d'accord. Alors que faire ? L'Ordre des pharmaciens, les syndicats et le Collectif des groupements devraient se réunir, se mettre d'accord sur une proposition leur paraissant raisonnable à moyen terme. Ils la déposent ensuite à l'Assemblée nationale sous la forme d'un amendement. Cela ferait peut-être avancer les choses. »
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