Segment fondamental du marché officinal, les génériques restent « un élément rémunérateur essentiel de la marge des pharmaciens », comme le rappelle Pascal Louis, président du Collectif national des groupements de pharmaciens d’officine (CNGPO). « Après deux années de relative stagnation du répertoire, celui-ci repart à la hausse, tiré bien sûr par l’arrivée du Plavix », note Philippe Besset. Pour autant, le marché des génériques pourrait s’améliorer si la prescription se faisait sous la dénomination commune internationale des médicaments, et non sous leur nom de marque, et si la mention « non substituable » était utilisée de manière raisonnée. Comme le rappelle Gilles Bonnefond, président délégué de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO), l’enquête menée cet été à son initiative auprès des pharmaciens (4 000 répondants) portait justement sur la mention non substituable. Pour la très grande majorité d’entre eux (90 %), la mention n’est pas correctement rédigée sur l’ordonnance et 78 % ont constaté que cette mention est de plus en plus présente sur les ordonnances.
(diapo 20 et 23)
Insolite
Épiler ou pas ?
La Pharmacie du Marché
Un comportement suspect
La Pharmacie du Marché
Le temps de la solidarité
Insolite
Rouge à lèvres d'occasion