La Chambre syndicale des groupements de pharmaciens (Federgy) demande à la ministre de la Santé de mettre fin à la pratique de la rétrocession et exige que les officinaux puissent communiquer plus librement. Pour Federgy, le code de la Santé publique doit être strictement appliqué : seules les centrales d’achat pharmaceutique (CAP) et les structures de regroupement à l’achat (SRA) peuvent négocier avec les laboratoires pharmaceutiques. Aujourd’hui, il est inadmissible qu’« un nombre croissant de laboratoires incitent les pharmaciens à se réunir dans des structures informelles pour obtenir des conditions commerciales liées à des quantités manifestement supérieures à leurs capacités d’achats et de reventes », martèle Christian Grenier, président de Ferdergy. « La fin de la rétrocession permettra aux officinaux de déléguer ces négociations commerciales à des structures habilitées et structurées pour le faire afin d’être le plus souvent possible au comptoir et de se consacrer aux nouvelles missions », poursuit-il.
Toutefois, sur « lequotidiendupharmacien.fr », certains internautes estiment que cette revendication traduit une « volonté de contraindre tous les pharmaciens à adhérer à un groupement ».
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