À partir du 24 avril, au Québec, les pharmaciens pourront substituer les médicaments, même si les médecins ont écrit « Non Substituable » sur l’ordonnance. À moins que le prescripteur ait accompagné cette mention NS d’un code justificatif, correspondant à des considérations thérapeutiques reconnues et spécifiques à la condition du patient. À savoir : si le médicament concerné appartient à certaines classes (comme les immunosuppresseurs, la clozapine, etc.), en cas d’allergie ou d’une intolérance documentée à un excipient, etc.
Le patient qui souhaite malgré tout obtenir le princeps devra payer la différence de sa poche. Malheureusement, l’impact de cette mesure ne sera que partiel. En effet, au Québec, les frais de santé sont pris en charge soit par l’assurance publique, soit par des assureurs privés. Et la mesure ne s’appliquera que pour les personnes assujetties au régime public. Toutefois, cette modification devrait permettre de réaliser 80 millions de dollars d’économies, selon le ministre québécois de la Santé.
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